Les Déclarations de Gabriel Attal devant la Commission d’Enquête Parlementaire
Ce mardi, l’ancien Premier ministre a été interpeller par les membres de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale concernant le déséquilibre des finances publiques pour les années 2023 et 2024.
Date de publication : 04/02/2025 | Date de mise à jour : 04/02/2025
Un État en Quête Économique : Les Efforts de Gabriel Attal
Lors d’une audition face aux sénateurs sur la santé budgétaire du pays, Gabriel Attal a affirmé que durant son bref mandat à Matignon en l’an dernier, il avait concentré ses efforts sur un redressement financier crucial. « J’ai estimé que ma priorité était d’optimiser nos dépenses, » a-t-il déclaré lors des discussions sur la dérive des comptes publics.
Afin d’alléger les charges financières considérées comme critiques pour améliorer notre situation économique, plusieurs décisions difficiles ont été prises. Parmi celles-ci figuraient la suppression du bouclier tarifaire lié à l’électricité, une réduction drastique des budgets par décret s’élevant près de dix milliards d’euros ainsi qu’un doublement des franchises médicales. De plus, il a mentionné une réforme suspendue touchant l’assurance-chômage et un objectif ambitieux portant sur quinze milliards supplémentaires d’économies prévu dans le projet budgétaire pour l’année suivante.
Dépenses Publiques : Une Réduction Historique mais avec Réserves
Selon Gabriel Attal, en contraste avec les années précédentes où les dépenses avaient tendance à croître sans relâche, l’État aurait dépensé onze milliards d’euros en moins pendant cette période—un événement rare au cours de la dernière décennie. Cependant, cette baisse coïncidait aussi avec une augmentation globale des dépenses publiques classifiées comme sociales ainsi que celles engagées par les collectivités locales.
Prévisions Déficitaires : Un Écart Inquiétant avec L’objectif Initial
Le manque budgétaire public est projeté autour de six pour cent du PIB dans un avenir proche selon ses prévisions—un écart significatif lorsque comparé aux cinq virgule un pour cent qui avaient été envisagés au printemps précédent après réajustement mené sous sa direction. Tout cela résulte non seulement d’une explosion continue des dépenses mais également de prévisions fiscales qui se sont révélées excédentaires (y compris impôts divers tels que ceux sur les sociétés).
En janvier dernier déjà informés par leur équipe financièrede ces ajustements nécessaires dans leur niveau anticipatif ! « Face à ces indicateurs préoccupants », évoque-t-il encore aujourd’hui « une décision collective» prise impliquant Bruno Le Maire ; elle consistait alors tout autant qu’à agir rapidement tout en gardant transparence. » Pour lui cette option passe donc obligatoirement via une diminution convenue aussi bien quant au taux estimatif croissance qu’à celui vers ces cibles fiscales nettement revues. »
L’Absence D’un Projet Financier Rectificatif : Choix Stratégique ou Nécessité?
Sans hésitation désormais reconnue personnellement responsable surtout vis-à-vis Emmanuel Macron – il explique avoir pris position contre toute suggestion envisageable reposant devant eux révélée vu sous forme législative avortée présentée via Bruno Le Maire car jugée trop contraignante envers emploi parlementaires restants.