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RÉCIT – Des sans-papiers savent que, chaque jour, des dizaines de particuliers et d’artisans arpentant les rayons pour faire leurs achats feront appel à eux.
Ce sont les forçats du travail illégal. Comme chaque matin, dès 6h30, des grappes d’hommes, tous sans-papiers, emmitouflés dans des parkas, bonnets enfoncés jusqu’aux yeux, se forment dans la nuit noire. En silence, ils se postent un à un le long de la route départementale qui borde la zone industrielle de Pierrelaye, dans le Val-d’Oise.
Selon un rituel rodé par la répétition des jours, les uns posent leur sac à dos par terre, d’a
…. to be continued
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