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- Critique littéraire
Les six tomes de la saga de Michael McDowell, édités il y a près de quarante ans aux Etats-Unis, paraissent enfin en français, à raison d’un tome toutes les deux semaines.
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« Blackwater I. La crue » (Blackwater. The Flood), de Michael McDowell, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Yoko Lacour et Hélène Charrier, Monsieur Toussaint Louverture, 260 p., 8,40 €.
L’Américain Michael McDowell (1950-1999) se souciait fort peu de la postérité. Il se targuait d’être un « écrivain commercial », un « artisan » dont le style était guidé par la recherche de clarté et de précision. Son dessein était aussi humble qu’ambitieux : procurer du plaisir aux lecteurs. Force est de constater que celui-ci demeure inentamé au fil des ans. En témoigne sa saga en six tomes, Blackwater, parue initialement aux Etats-Unis en 1983 et pour la première fois traduite en français : mâtinée de surnaturel, dans le droit fil de la tradition du Southern Gothic, c’est l’histoire de la riche famille Caskey, propriétaire de plusieurs scieries à Perdido, Alabama, l’Etat natal de l’auteur.
Elle commence à Pâques 1919, alors q
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